Récemment, un récit fait beaucoup de bruit dans le milieu : les problèmes de santé de Bao Er Ye, qui seraient apparemment liés au projet MuMU, soutenu par des investisseurs du Moyen-Orient.

Voici ce qui s’est passé : au lancement du projet, Bao Er Ye a pris une décision radicale en envoyant quasiment toute sa part dans le « trou noir », brûlant directement 77 770 000 jetons et ne gardant que 8 880 000 pour lui. Et les 44 440 000 jetons d’un autre grand nom du secteur ? Ils dorment encore dans son portefeuille à ce jour.

Encore plus théâtral, ce jeton n’a jamais vraiment décollé. Jusqu’à ce que l’affaire d’Abu Dhabi éclate récemment, et que le prix bondisse soudainement.

Certains pensent que ce n’est qu’une coïncidence, d’autres estiment qu’il y a des dessous obscurs. Capitaux du Moyen-Orient + mécanisme de burn + annonce surprise : ce cocktail est effectivement intrigant. Mais la vérité, seuls les principaux concernés la connaissent.

C’est ça, le marché : parfois, une seule information suffit à bouleverser la répartition des jetons.