Le 21 novembre, le cabinet du Premier ministre japonais, Sanae Takaichi, a approuvé le plan de dépenses supplémentaires le plus important depuis le début de la pandémie, en allouant des fonds par le biais d'un ensemble de mesures pour apaiser le mécontentement des électeurs. Cependant, cette initiative pourrait susciter l'inquiétude des investisseurs qui surveillent de près la situation financière du Japon, entraînant une chute du taux de change du yen à son plus bas niveau en 10 mois, tandis que le rendement des obligations d'État à très long terme a atteint un niveau record. Le ministère des Affaires intérieures du Japon a déclaré vendredi que ce plan de relance comprend des dépenses de compte général de 17,7 trillions de yen (environ 112 milliards de dollars). Ces dépenses seront probablement financées par un budget supplémentaire, augmentant de 27 % par rapport à la taille du budget introduit par son prédécesseur un an plus tôt. Le plan global s'élève à 21,3 trillions de yen, avec des mesures allant du soutien à la réduction des prix à l'investissement dans des secteurs clés. L'énorme volume de fonds pour la réduction des prix souligne la détermination de Sanae Takaichi à faire face à l'inflation persistante, un phénomène qui a exacerbé le mécontentement des électeurs et conduit à la démission de son prédécesseur. Les données de vendredi montrent que l'indice des prix clé du Japon est resté au-dessus de l'objectif de 2 % de la banque centrale pendant 43 mois consécutifs, établissant ainsi le record le plus long depuis 1992. Le cabinet japonais prévoit d'approuver au plus tôt le 28 novembre un projet de budget supplémentaire pour financer ce plan et espère obtenir l'approbation du parlement d'ici la fin de l'année. (Jin10)
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Le Japon a lancé un plan de stimulation économique de 21 000 milliards de yens, dont plus de la moitié est destinée à l'aide contre l'inflation.
Le 21 novembre, le cabinet du Premier ministre japonais, Sanae Takaichi, a approuvé le plan de dépenses supplémentaires le plus important depuis le début de la pandémie, en allouant des fonds par le biais d'un ensemble de mesures pour apaiser le mécontentement des électeurs. Cependant, cette initiative pourrait susciter l'inquiétude des investisseurs qui surveillent de près la situation financière du Japon, entraînant une chute du taux de change du yen à son plus bas niveau en 10 mois, tandis que le rendement des obligations d'État à très long terme a atteint un niveau record. Le ministère des Affaires intérieures du Japon a déclaré vendredi que ce plan de relance comprend des dépenses de compte général de 17,7 trillions de yen (environ 112 milliards de dollars). Ces dépenses seront probablement financées par un budget supplémentaire, augmentant de 27 % par rapport à la taille du budget introduit par son prédécesseur un an plus tôt. Le plan global s'élève à 21,3 trillions de yen, avec des mesures allant du soutien à la réduction des prix à l'investissement dans des secteurs clés. L'énorme volume de fonds pour la réduction des prix souligne la détermination de Sanae Takaichi à faire face à l'inflation persistante, un phénomène qui a exacerbé le mécontentement des électeurs et conduit à la démission de son prédécesseur. Les données de vendredi montrent que l'indice des prix clé du Japon est resté au-dessus de l'objectif de 2 % de la banque centrale pendant 43 mois consécutifs, établissant ainsi le record le plus long depuis 1992. Le cabinet japonais prévoit d'approuver au plus tôt le 28 novembre un projet de budget supplémentaire pour financer ce plan et espère obtenir l'approbation du parlement d'ici la fin de l'année. (Jin10)