Une affaire de copyright sans précédent vient de Goutte au Japon. Les autorités là-bas ont accusé quelqu'un d'avoir reproduit illégalement une image générée par une IA — et cela pourrait en fait avoir de l'importance pour tout l'actif numérique.
Qu'est-ce qui rend ce cas intéressant ? Il teste un territoire juridique inexploré. Quand un algorithme crée quelque chose, qui en est le propriétaire ? Peut-on même violer le droit d'auteur sur un contenu qui n'a jamais eu d'auteur humain ? Les tribunaux japonais s'apprêtent à nous donner des réponses qui pourraient avoir des répercussions sur les marchés NFT, les plateformes d'art génératif, et en gros partout où l'IA touche la production créative.
Le timing ne pourrait pas être plus pertinent. Alors que les générateurs d'images AI inondent le marché et que l'art basé sur la blockchain explose, nous voyons ces mondes entrer en collision dans de véritables batailles juridiques. Ce ne sont plus juste des débats théoriques. Cette poursuite pourrait établir des précédents qui définiront comment nous traitons les actifs créés par l'IA à l'avenir — qu'il s'agisse de mèmes, de photos de profil ou de collections NFT de plusieurs millions de dollars.
Il est intéressant de voir comment cela va se dérouler. Les cadres juridiques s'efforcent de rattraper la technologie qui est déjà présente.
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POAPlectionist
· Il y a 23h
À qui appartient réellement ce que génère l'algorithme ? Si ce cas est jugé, cela pourrait directement bouleverser tout le cercle des NFT.
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PaperHandSister
· Il y a 23h
Cette affaire au Japon est intéressante, qui décide de ce que produit l'algorithme ? Ça pourrait bien faire s'effondrer la moitié du marché des NFT.
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GhostAddressMiner
· Il y a 23h
Le cas du Japon était déjà visible off-chain, les adresses originales des NFT générés par l'IA avaient déjà transféré des fonds. J'ai suivi il y a six mois plusieurs trajectoires de migration de portefeuilles suspects... La lenteur de la législation est trop évidente.
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FlyingLeek
· Il y a 23h
C'est bien fait pour cette affaire au Japon, enfin quelqu'un ose blâmer la question des droits d'auteur de l'IA.
Une affaire de copyright sans précédent vient de Goutte au Japon. Les autorités là-bas ont accusé quelqu'un d'avoir reproduit illégalement une image générée par une IA — et cela pourrait en fait avoir de l'importance pour tout l'actif numérique.
Qu'est-ce qui rend ce cas intéressant ? Il teste un territoire juridique inexploré. Quand un algorithme crée quelque chose, qui en est le propriétaire ? Peut-on même violer le droit d'auteur sur un contenu qui n'a jamais eu d'auteur humain ? Les tribunaux japonais s'apprêtent à nous donner des réponses qui pourraient avoir des répercussions sur les marchés NFT, les plateformes d'art génératif, et en gros partout où l'IA touche la production créative.
Le timing ne pourrait pas être plus pertinent. Alors que les générateurs d'images AI inondent le marché et que l'art basé sur la blockchain explose, nous voyons ces mondes entrer en collision dans de véritables batailles juridiques. Ce ne sont plus juste des débats théoriques. Cette poursuite pourrait établir des précédents qui définiront comment nous traitons les actifs créés par l'IA à l'avenir — qu'il s'agisse de mèmes, de photos de profil ou de collections NFT de plusieurs millions de dollars.
Il est intéressant de voir comment cela va se dérouler. Les cadres juridiques s'efforcent de rattraper la technologie qui est déjà présente.