Kindred est en train de construire l'infrastructure culturelle !

Le cœur de Kindred n’est pas de rendre l’IA plus intelligente, de générer plus vite, ni de concurrencer les grands fournisseurs de modèles sur la courbe de puissance de calcul. Ce que Kindred cherche véritablement à réinventer, c’est la façon dont les IP (propriétés intellectuelles) existent dans le monde numérique. Depuis des décennies, le cycle de vie d’une IP est limité par son format : mangas, dessins animés, jeux vidéo, films, produits dérivés. Ils ont des supports fixes, des points d’entrée fixes, et des modes de consommation figés. L’IP ne respire pas, ne grandit pas, ne répond pas : tu n’es qu’un consommateur passif de son produit.

Kindred vient renverser cette logique : ils considèrent l’IP comme un agent intelligent pouvant fonctionner sur ton appareil, pas comme une simple image, un jouet ou un personnage de récit. Cela signifie que, pour la première fois, une IP acquiert une signification au niveau du système d’exploitation : elle peut exister en continu sur ton téléphone, ton ordinateur, tes lunettes et, à l’avenir, dans l’espace AR, interagir avec toi, t’accompagner, t’apprendre, ou même exécuter des tâches pour toi.

Ce n’est pas un produit d’IA, mais un nouveau protocole fondamental pour toute l’industrie culturelle. Si la blockchain numérise les actifs, et que le DePIN numérise l’infrastructure physique, alors Kindred numérise les symboles culturels eux-mêmes en entités vivantes et fonctionnelles. Il offre à l’IP un nouveau modèle de cycle de vie : passant d’une consommation ponctuelle à une relation de long terme, d’une licence passive à une exploitation active, d’un personnage statique à une personnalité dynamique.

Regarde les partenaires qui se précipitent pour rejoindre Kindred : Hello Kitty, Teletubbies, Astroboy, Usagyuuun, MapleStory, la série Disney… Ils ne cherchent pas seulement à profiter d’un engouement : ils savent que les méthodes traditionnelles de monétisation des IP ont atteint leur plafond, et que la croissance de la prochaine génération d’IP doit absolument se fonder sur une couche d’interaction IA.

Kindred ne fait pas de chatbot, ni de divertissement immersif ; il redéfinit la façon dont une IP peut vivre dans le monde numérique. S’il réussit, chaque grande IP existera comme un agent intelligent dans ton écosystème. Plus qu’une entreprise, c’est le tout premier socle sur lequel l’industrie culturelle va s’installer à l’ère de l’IA.

Sous cet angle, la réussite de Kindred ne dépend ni du prochain TGE, ni d’indicateurs à court terme, mais de sa capacité à devenir le nouveau protocole Internet pour les IP.

Je pense qu’ils sont sur la bonne voie, et surtout, il n’existe aujourd’hui aucun autre groupe capable de faire ça, ni même d’essayer !

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