Le contrôle du discours par les médias devient de plus en plus évident dans le monde du capital-risque. Début novembre, la principale société de capital-risque mondiale A16Z a officiellement annoncé la création d’un département de nouveaux médias, accompagnée d’une « Déclaration sur les nouveaux médias » — un document que tous les créateurs de contenu et professionnels de l’exploitation devraient étudier attentivement. Il faut dire que l’obsession d’A16Z pour le contenu est un consensus dans l’industrie ; cette société de capital-risque américaine de premier plan, aux côtés de Sequoia, a dès sa création placé les nouveaux médias et la diffusion de contenu au cœur de sa stratégie. Ce n’est pas une décision prise à la légère, mais une évolution systématique après des années d’accumulation. La logique derrière est simple : le flux d’informations façonne la perception du marché, et cette perception du marché détermine le flux de capitaux. Sur la piste du Web3 et des industries innovantes, celui qui maîtrise la narration détient le pouvoir de diriger le sujet des investissements.