Si l'on classe la difficulté de l'arbitrage on-chain par niveaux, je pense que cet ordre est plus raisonnable :

La difficulté sur Ethereum est à peu près de niveau moyen. Tant qu'on connaît un peu la sécurité des contrats, qu'on connaît quelques développeurs fiables, on peut essentiellement trouver des opportunités de profit. L'écosystème sur cette chaîne est suffisamment mature, il y a encore des marges d'arbitrage.

La chaîne BASE est beaucoup plus complexe, je lui donnerais un 7. Il y a effectivement pas mal de projets d'applications, mais les projets frauduleux ne cessent d'apparaître, avec toutes sortes de petites cryptos qui courent partout. Il est devenu courant que les fondateurs publient quotidiennement des adresses de contrats pour faire des arnaques. Pour gagner de l'argent ici, il faut essentiellement être quelqu'un de compétent, il faut réfléchir pour éviter les pièges.

BSC est la plus simple. Quand le marché est bon, c'est presque sans barrières, les projets recommandés par l'officiel peuvent doubler en valeur, et vendre pour couper ses pertes est toujours rentable. La difficulté sur cette chaîne est la plus faible, adaptée aux débutants pour accumuler de l'expérience.

SOL est vraiment le mode enfer. L'année dernière, c'était encore jouable, mais cette année, la difficulté de tout l'écosystème a fortement augmenté. Seuls les grands leaders peuvent encore faire de l'argent, les petites cryptos montent souvent en flèche puis retombent à zéro. Ceux qui jouent sur SOL sans illusions peuvent encore gagner un peu, mais la pression psychologique est énorme, tout le processus se déroule dans une tension constante, on a l'impression que notre cerveau va exploser à tout moment.